Historique Libertine d'un jeune couple bien sous tous les rapports.

Je suis une femme de 48 ans, mariée depuis 30 ans avec Michel, nous avons une vie familiale bien remplie, partagée entre nos enfants, nos emplois et les différentes activités bénévoles dans lesquels nous nous impliquons avec enthousiasme. Notre histoire débute en France, au bord de la Méditerranée, sous les palmiers et le mistral. Nous avions dix-sept ans au début de notre relation et nous nous sommes promis de n’avoir jamais de secret l’un pour l’autre. Je peux dire maintenant, que ce serment solennel, est sans doute le contrat le plus important de notre vie. Car non seulement, nous l’avons toujours respecté, mais il a influencé tout le reste de notre existence. Pendant trois ans nous avons appris à nous co-naître et à bâtir notre couple. Puis, je me souviens très bien de ce beau jour d’été, nous avions alors 20 ans, un ami, James, nous invite au vernissage d’un peintre hollandais qu’il connaissait. Les toiles sont très belles, longuement, je me suis arrêtée sur l’une d’elle, qui m’attire particulièrement quand une présence derrière moi vient me tirer de ma rêverie. -‘’ Vous la trouvez belle ?’’- Me retournant, je découvre un inconnu, grand, blond, environ 35 ans, qui me souriait en me tendant une coupe de champagne.

–‘’Oui..’’ Dis-je simplement.

- ‘’ Prenez, il est bon et très frais, c’est pour vous qu’il a été servi ‘’.

James, arrive à ce moment et fait les présentations – ‘’Bert le créateur de ces splendides œuvres !’’.

Bert me prend le bras pour me présenter sa conjointe : Antoinette, qui est une ravissante blonde, que nous retrouvons en compagnie de James et de mon mari tous trois en train de rire ; ils n’ont pas l’air de s’ennuyer ! Elle m’embrasse chaleureusement et me dit en souriant ‘’ Je vois que tu as déjà fais la connaissance de Bert, il ne peut pas s’empêcher d’aborder les jolies filles’’.

Je n’ai pas pu éviter de me sentir un peu confuse, car il est vrai que, moi aussi, je l’avais trouvé charmant dès le premier contact !

'' j’avais perdu totalement la maîtrise de mes émotions ''

Nous avons terminé la soirée tous les cinq à discuter, puis James, repartit chez lui, la conversation se termina chez nous. Ce soir là, ils nous racontèrent qu’ils étaient un couple libre, ouvert aux relations sexuelles avec d’autres partenaires, qu’ils vivaient ensemble des expériences échangistes et que ça les enrichissaient énormément, tout en fortifiant leur relation. La conversation n’a plus dévié de ce sujet tout le restant de la soirée. Nous étions très curieux et un peu sceptique concernant cette manière de vivre sa sexualité conjugale. Mais plus nous avancions dans nos débats et plus je m’apercevais que nous partagions la même philosophie de la vie : les même valeurs primordiales de respect mutuel dans le couple, de rejet total du mensonge et de l’hypocrisie et que nous placions la liberté au-dessus de tout le reste. Je me sentais de plus en plus troublée par les arguments que nos amis avançaient, car je me rendais compte des bouleversements que cette discussion pouvait entraîner dans mon existence. Je me sentais bousculée par une situation sur laquelle j’avais perdu totalement la maîtrise de mes émotions, je sentais le même énervement chez Michel, ce qui contrastait avec le calme apparent et l’attitude détendue de nos amis hollandais. Ce jour là, ils sont repartis très tard, en nous donnant rendez-vous chez eux pour le lendemain soir ! Comme dans un rêve, j’ai vu Antoinette, qui en lui disant au revoir, embrassait Michel sur les lèvres…Les dés étaient jetés !

''le souvenir d’une main frôlant ma cuisse nue''

Le lendemain me fut très éprouvant. Jusqu’au moment où je me suis préparée pour aller les retrouver, l’attente de cet événement accaparait tellement mon esprit, que j’étais totalement paralysée. Tous les propos entendus la veille remontaient à ma mémoire, les regards échangés, le souvenir d’une main frôlant ma cuisse nue, le rapide baiser, échangé par Antoinette et mon mari, refaisaient surface. Pourtant, le repas se déroule dans une atmosphère détendue, nous avons parlé de divers sujets, presque anodins. Nos amis ont eus l’intelligence et la délicatesse de dédramatiser la situation d’habile manière.

À la fin du repas nous nous sommes retrouvés sur deux canapés en L, j’étais entre Bert assis d'un coté, et Michel, qui se trouvait sur l’autre sofa, assis avec Antoinette. Quand Bert, a commencé, de sa main, à jouer avec mes longs cheveux, moi, j’ai serré très fort celle de Michel ! Puis, lentement, Bert s’est rapproché de mon épaule, quand ses lèvres se sont posé sur mon cou, j’ai tressaillit, mais déjà, il remonte vers mon oreille, un frisson me parcourt, sa bouche maintenant glisse sur ma joue, quand sa main, délicatement attira mon visage vers le sien, je lui ai donné mes lèvres et me suis abandonnée dans un long baiser. C’est à ce moment là, que Michel, a lâché ma main.

''Découvrant mes seins, il les explore tendrement''

Je suis surprise par la douceur et l’harmonie qui règne, car, je craignais un peu que, dans ce genre d’ébats les rapports soient un peu bestiaux comme dans les films X. Maintenant Bert caresse la soie de mon chemisier et insinue sa main sur ma peau. Découvrant mes seins, il les explore tendrement, ceux-ci, très sensibles, se raffermissent encore plus, je sens mes pointes se dresser sous l’action de ses doigts.

''Déjà, ses doigts atteignent la dentelle de ma petite culotte et s’y promènent, comme pour en apprécier la texture. Sous la caresse, mes cuisses s’ouvrent pour en faciliter l’accès''

Ma main remonte alors le long de son jeans, jusqu’à atteindre son sexe déjà raidi, que je palpe à travers l’étoffe rugueuse pendant que la sienne descend à présent sur ma minijupe, arrivé sur ma peau, toujours lentement, il remonte ma cuisse, sa main est chaude et douce et le tissu épouse sa progression sans s’y opposer. Déjà, ses doigts atteignent la dentelle de ma petite culotte et s’y promènent, comme pour en apprécier la texture. Sous la caresse, mes cuisses s’ouvrent pour en faciliter l’accès et mon bassin s’avance, impatient, je sens le désir monter profondément de mon ventre. Soudain, franchissant l’ultime barrière du léger tissu, un doigt se pose sur ma vulve, qui est déjà bien lubrifiée, trouve mon clitoris en m’arrachant un soupir, il se met à le masser par de petits mouvements circulaires. Asphyxiée par l’émotion, je bascule ma tête en arrière pour reprendre mon souffle.

''elle est en train de délivrer le sexe tendu de mon mari''

Mes yeux se posent alors sur Antoinette, ses longs cheveux blonds tout ébouriffés, elle est en train de délivrer le sexe tendu de mon mari en dégrafant son pantalon, je peux le voir palpiter entre ces mains qui le flattent, le tâtent, remontent la colonne de chair jusqu’au gland, redescendent pour soupeser les testicules, pour revenir agacer le gland avec le creux de leurs paumes, elle aussi est une artiste !

Hypnotisée par ce tendre spectacle, c’est à peine si je m’aperçois que je suis en train de soulever mon bassin afin d’aider Bert, qui entreprend de me retirer ma jupe et fait glisser mon petit slip le long de mes cuisses bronzées, pour le laisser tomber au sol.

Il vient s’agenouiller entre mes jambes, pendant que ses mains viennent se glisser sous mes fesses pour faire basculer mon clitoris à la rencontre de sa bouche.

''un orgasme semblant durer une éternité m’envahit le corps entier''

Quand il prend possession de mon bourgeon, je ressens une violente sensation, comme si mon ventre se faisait aspirer par quelque chose d’humide et chaud, une décharge électrique remonte de mon sexe, jusqu’à l’utérus, un orgasme semblant durer une éternité m’envahit le corps entier, me déchire, m’arrache des cris, à tel point que Bert est obligé de me maintenir fermement par les hanches, pour éviter que je le désarçonne.

La puissance de ma jouissance est telle, qu’elle me laisse un moment sans voix, surprise de sa spontanéité, des spasmes parcourent encore mes muscles.

Les contractions s’espacent. Bert qui a gardé sa bouche soudée à mon clitoris, qu’il maintient solidement emprisonné entre ses lèvres, recommence alors à le stimuler avec sa langue, d’abord imperceptiblement, puis plus rapidement. A l’aide de petits mouvements rapides, mais pas très appuyés de sa langue, il me fait alors jouir une deuxième fois, aussi fort que la première, je me suis raidie, au bord de la crampe, mon corps est retombé ensuite, s’abandonnant à la douce torpeur qui suit une telle explosion d’énergie. Quand j’ai rouvert les yeux, Antoinette penchée sur moi, me sourit en me caressant la joue, nous avons échangé un long regard, je lui ai sourit, sa bouche est venue se poser sur mes lèvres, elle sent bon sa peau est veloutée, nos cheveux se mêlent, mes mains s’aventurent sur sa peau. Nous nous embrassons fougueusement pendant que des mains me caressent, me palpent, me fouillent, sans que je sache très bien à qui elles appartiennent, mais qu’importe ! Une queue me pénètre profondément. Décidément, je ne sais pas si c’est le stress de l’attente pendant toute la journée, mais je sens que je ne vais pas tarder à jouir encore !

''Antoinette redouble d’ardeur, je vois sa bouche aller et venir de plus en plus vite''

En voyant Michel s’agenouiller près de nous, je me rends compte que c’est donc la queue de Bert qui est en train d’aller et venir si délicieusement en moi. Je suis comblée, alors que Bert me prend de plus en plus vigoureusement, Antoinette n’a pas pu résister à la tentation d’engloutir la verge de mon mari au paroxysme de l’excitation, et le suce sous mes yeux. Presque immédiatement, il se met à gémir, Antoinette redouble d’ardeur, je vois sa bouche aller et venir de plus en plus vite le long du pénis tendu et luisant. Il explose enfin, en criant sa jouissance, je viens en même temps, autant par le sexe qui m’écartèle merveilleusement, que par la vue de cette magistrale fellation.

Pendant que Michel récupère son souffle, Antoinette lèche avec gourmandise quelques gouttes qui s’étaient échappées sur ses doigts et m’embrasse à nouveau langoureusement. Sa langue est encore imprégnée de sperme et je me suis délectée en la dégustant comme une offrande. Délaissant Michel et Antoinette, qui se débrouillent très bien sans moi, je me jette sur Bert, qui m’a si bien fait jouir, décidée de lui rendre la pareille !

''Parfois je me concentre sur le gland !''

Ma bouche s’empare de son sexe avec délice, effectuant de longs va-et-vient en allant le plus loin possible, je l’humecte de ma salive. Parfois je me concentre sur le gland, faisant tourner ma langue autour pendant que je lui caresse les bourses. Soudain, je le sens se cabrer dans ma bouche, alors, au plus profond de ma gorge, il répand sa semence que j’avale en plusieurs fois, au fur et à mesure de ses spasmes. L’extase terminée, je prends soin de remonter avec ma langue depuis la base du pénis jusqu’au gland afin d’extraire la dernière goutte, que je lape immédiatement, arrachant un dernier soubresaut à Bert.

À coté de nous, Antoinette et Michel, s’écroulent terrassés par un nouvel orgasme, exténués et heureux.

Une fois repris nos esprits, nous avons ouvert une bouteille de vin. Un peu plus tard, nous avons refait l’amour passionnément.

Le jour s’est levé, alors, nous avons fait du café.

- Nous n’avons pas fermé l’œil cette nuit là ! -